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Le groupe de travail sur l'accueil des jeunes dans les ressources alternatives a tenu, le 11 mai 2023, une rencontre virtuelle afin de présenter le fruit de leurs réflexions. Il y est question de persévérance, d'adaptation, de reaching out, de pratiques porteuses qui répondent de répondre mieux, ailleurs et autrement, aux besoins en santé mentale des jeunes adultes.
Un padlet de ressources intéressantes a également été partagé lors de cette rencontre, et se trouve ici.Cette première rencontre thématique de l'année 2023 vise à soutenir les ressources alternatives dans la défense de leur autonomie. Comment négocier nos relations avec nos partenaires sans perdre nos couleurs alternatives ? Comment ne pas mettre de côté notre mission en s'éparpillant dans des projets ? Quels sont les nouvelles configurations des balises entourant le nouveau cadre normatif du PSOC et quels en seront les impacts potentiels sur nos groupes ?
Hélène Chabot, directrice du centre de crise alternatif La Bouffée d'air, partage en premier lieu une expérience de négociation de l'autonomie et du financement vécue par sa ressource dans la dernière année. Elle est suivie par Mercedez Roberge, de la Table des regroupements provinciaux des organismes communautaires et bénévoles (TRPOCB) qui présente les balises du cadre normatif du PSOC entré en vigueur depuis le 1er avril 2023.
Le RRASMQ, en partenariat avec le comité d'acupuncture sociale de l'Association des acupuncteurs du Québec, réalise depuis l'automne 2021 un projet pilote d'expérimentation de cliniques NADA au sein de 6 ressources alternatives membres. Le protocole d'acupuncture NADA est une approche thérapeutique de groupe, utilisée depuis près de 50 ans, intégrée au sein de nombreux programmes de santé mentale et de gestion des dépendances. Le traitement concerne cinq points d'acupuncture auriculaire qui permettent de rééquilibrer l’énergie du corps et aident à restaurer le calme intérieur, tout en améliorant la vitalité.
Afin de permettre plus d'accessibilité aux soins d'acupuncture, le RRASMQ et le Comité d'acupuncture sociale de l'AAQ organisent plusieurs cliniques d'expérimentation. Après trois mois d'acupuncture solidaire au sein de ressources alternatives, les membres témoignent des effets et résultats de ces soins.
Vidéo : Acupuncture solidaire et santé mentaleLe 29 janvier 2020, les membres du RRASMQ étaient conviés à une rencontre nationale bien particulière. Cet événement venait clore un cycle de la démarche Se donner du souffle, tout en préparant les membres du RRASMQ à intervenir lors des consultations régionales qui auront lieu ce printemps, et qui viseront à élaborer le prochain Plan d'action en santé mentale. Merci à toutes les ressources qui y ont délégué des participant.e.s!
Le Regroupement des ressources alternatives en santé mentale du Québec (RRASMQ) invite ses membres et ses alliés à des journées de réflexion sur les enjeux politiques qui affectent tant les personnes que les ressources membres du Regroupement. La rencontre se déploiera en moment de présentations en plénières, en discussions animées et, nouveauté cette année, nous proposons aux membres un Forum ouvert. Le Forum ouvert est un temps lors duquel l’ordre du jour et les sujets discutés sont élaborés par les participants et les participantes à la rencontre. Le but de la rencontre ? Réfléchir et échanger ensemble mais, surtout, se donner des outils afin de passer à l’action. La santé mentale est un enjeu social et politique sur lequel nous, les citoyens et citoyennes, devons demeurer vigilants et actifs!
Le 25 octobre dernier, treize (13) groupes d’entraide de sept (7) régions différentes se réunissaient à Drummonville pour échanger entre eux. L’Entraide étant une des pratiques fondatrices du mouvement alternatif au Québec, il est important de voir ce qu’il advient de cette pratique qui nous est chère.
La rencontre a permis aux groupes de parler de ce qu’ils vivent et d’identifier les défis à relever aujourd’hui. Cette journée nous a rappelé que nos pratiques sont multiples. Bon nombre de défis sont communs et travailler chacun dans son coin n’est pas une solution. Il faut donc sortir de l’isolement, surtout si nous voulons faire valoir les richesses de l’approche alternative. Une prochaine rencontre est envisagée. Elle permettra de mieux approfondir les défis à relever.
Les 25 et 26 septembre, 90 personnes de 33 ressources différentes se sont réunies à Jouvence afin de poursuivre la démarche de ressourcement autour de l’approche de l’Éducation Populaire Autonome et s’outiller dans la mission de transformation sociale.
Les 20 et 21 mars dernier, 80 personnes participantes représentant 29 ressources membres étaient réunies à Drummondville pour débuter la première phase de la démarche.
À notre adresse, tout part des gens dès l’accueil vise principalement à :Dans un contexte où la médication est la réponse presque exclusive à la souffrance sociale et psychique des jeunes, la place faite aux approches alternatives s'effrite à un rythme inquiétant. Préoccupées par la place grandissante des médicaments psychotropes utilisés dans le traitement de difficultés associées à toutes les étapes de la vie, de l'enfance et de la jeunesse et notamment le passage à la vie adulte, plus de 300 personnes (50 organisations, 150 intervenants et intervenantes et 160 jeunes) ont été consultées durant les derniers mois afin de documenter ce constat. Elles nous ont fait part des obstacles qu'elles vivent ainsi que des pistes de solution qu'elles proposent.
Il est parfois incontournable de s'arrêter et de prendre le temps de discuter de la conjoncture et des grands enjeux propres à l'Alternative en santé mentale. Plus de 85 personnes se sont réunies à l'hôtel Sandman afin d'échanger sur certains enjeux entourant la mise en place du Plan d'action en santé mentale 2015-2020 (PASM). La rencontre s'est caractérisée, fidèle à la tradition du Regroupement, par des échanges extrêmement intéressants, des témoignages frappants et de bonnes discussions. Les évaluations recueillies à la fin de la rencontre ont laissé voir que l'événement a été globalement très apprécié.
La population du Québec se prépare à vivre une deuxième grande réingénierie du système de santé et de services sociaux en moins de 10 ans. Cette fois-ci elle s’accompagne d’une série de mesures d’austérité qui risquent d’affecter de larges pans des services à la population ainsi que les conditions de vie des citoyennes et des citoyens. Les personnes qui vivent des problèmes de santé mentale seront sans doute parmi les plus touchées.
Cette rencontre vise principalement à :Peut-on imaginer un colloque international enjoué portant sur ce thème ? Paradoxalement, c’est ce qui s’est produit les 27, 28 et 29 novembre 2014, à Montréal. C’est arrivé en pleine dureté des impacts de décisions gouvernementales austéritaires, à la veille d’une manifestation pan-québécoise, visant à dénoncer ces manœuvres néolibérales qui ont pour principal effet de concentrer la richesse monétaire dans les mains d’une élite dominante, au Québec comme ailleurs.
Près de deux cent personnes convoquées par l’équipe de recherche ÉRASME se sont retrouvées avec leur expérience, leur expertise et leurs questionnements : participantˑeˑs et intervenantˑeˑs de regroupements citoyens et chercheurˑeˑs membres de l’équipe ÉRASME, autres invitéˑeˑs de Belgique, d’Espagne, de France et du Québec.
À l’AGA du RRASMQ en juin 2011, des membres du Regroupement ont participé à un atelier de réflexion sur le thème : « Vivre l’Alternative au quotidien : gérer ailleurs et autrement... » À cette occasion, les participantes et les participants à l’atelier étaient invités à se questionner et à réfléchir sur les pratiques de gestion des ressources alternatives. Les questions étaient les suivantes : Quelles sont les valeurs qui guident la gestion d’une ressource alternative ? Comment gérer une ressource en incarnant les valeurs et les principes de l’Alternative ? Existe-t-il des modèles de gestion qui nous inspirent ?
La suite de cet atelier s’est traduite par l’organisation d’une journée d’échange et de réflexion sur les enjeux et les défis de la « gestion/gouvernance » qui ont cours dans les ressources alternatives.
L'organisation du colloque se fit en collaboration avec le Regroupement des Auberges du cœur du Québec, l’Association des Centres jeunesse du Québec et la Commission de l’éthique en science et en technologie.
Objectifs :Le RRASMQ veut permettre à ses membres de dégager des points de convergence en matière de promotion du droit au logement pour les personnes vivant avec un problème de santé mentale. Pour le regroupement, cette rencontre nationale permettra d’établir les balises éthiques et politiques de ses prises de position sur les solutions à mettre en place pour favoriser le respect du droit à un logement stable et abordable pour les personnes vivant avec un problème de santé mentale.
Au moment où le MSSS amorce son bilan du Plan d’action en santé mentale 2005-2010, il est temps de prendre un recul critique et d’interroger les enjeux auxquels le RRASMQ, ses ressources membres et les personnes usagères sont confrontés afin de repositionner différemment le cadre stratégique et politique des actions visant à faire reconnaître la diversité des pratiques alternatives de soutien communautaire.
La rencontre nationale du 21 avril 2010 a été une occasion de permettre aux ressources membres du regroupement de réfléchir et de répondre aux questions suivantes :En 2005, le Ministère de la Santé et des Services sociaux lançait son plan d’action en santé mentale 2005-2010 (PASM). Intitulé La force des liens, le document présentait une série d’objectifs et de mesures visant à « parfaire le système québécois de santé mentale ». Le MSSS invitait tous les partenaires à se mobiliser afin que « la force des liens qu’ils tisseront » fasse que « les personnes atteintes d’un trouble mental et leurs proches auront plus facilement accès à des services qui amélioreront leur état de santé et leur qualité de vie. » Les ressources alternatives et communautaires en santé mentale étaient elles aussi conviées à « se mobiliser et à travailler en fonction des priorités décrites » dans le plan d’action.
Après 4 ans, il est encore difficile de dresser un tableau complet des résultats des diverses mesures appliquées au cours des dernières années. On peut cependant s’interroger sur quelques-uns des principes à la base du PASM 2005-2010 et tenter de dégager quelques constats sur les implications de certaines mesures sur les pratiques communautaires alternatives et sur les conditions de vie des personnes qui fréquentent les ressources alternatives. La rencontre nationale se veut un exercice de pensée collective et d’expression critique pour les personnes directement concernées par les actions menées par le MSSS, les agences régionales, les CSSS et les groupes communautaires et alternatifs eux-mêmes.
Le Forum international sur les pratiques de Gestion autonome des médicaments de l'âme en avril 2007 fut un « événement hors du commun où parmi les 500 participants se côtoyaient médecins, patients, intervenants, journalistes et politiciens. Je vois encore cette femme faire sa sieste, bien installée dans un fauteuil, et cet homme un peu rebel déployer ses talents de gymnaste devant les panélistes d'une table ronde, aucunement perturbés par cet acte impromptu et plutôt bizarre. Toute marginalité semblait permise et acceptée, pour ne pas dire « normale ». Si bien qu'une impression de quatrième dimension imprégnait les lieux et les gens. Peut-être celle de la liberté d'expression ... ou alors celle de la véritable liberté d'être. »
France Lavoie, L'actualité médicale, 9 mai 2007
À travers tous les changements en cours dans le système de la santé dans le cadre de la mise en place des réseaux locaux de services, plus particulièrement dans le champ de la santé mentale faisons le point sur la place que souhaite occuper le mouvement communautaire et alternatif et sur les moyens dont il a besoin.
Lors de cette journée, il a été entre autres question :|
Regroupement des ressources alternatives en santé mentale du Québec
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